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Chers Vosges Trotters,
Cette année, dans le cadre de la traditionnelle sortie inter VT,
les Vosges Trotters Colmar ont le plaisir de vous accueillir au refuge du lac du Schiessrothried, le 1er mai 2024.
Pour nous rejoindre, 2 randonnées vous sont proposées, avec un départ unique du parking de la station du Gaschney. RDV à 9h45 pour un départ à 10h00 pour les 2 randos :
- une randonnée d'environ 6.5 km et d'une durée de 02h30 , 450 m de nivelé positif et autant en négatif.
Itinéraire : Gaschney - Schallern - Schiessroth - Schaefferthal - Hohneck - Wormspel - Lac du Schiessrothried.
Attention, la descente du cirque glaciaire du Wormspel est pentue et accidentée à son entame. 
- une randonnée plus courte pour vous rendre du Gaschney directement au refuge VTC, avec une marche d'environ 45 minutes, sur sentier et chemin carrossable, sans difficulté.
Tour du lac et visite de notre refuge si vous le désirez.
Boisson et repas tirés du sac au refuge VTC, où vous sera offert le verre de l'amitié.
Retour au Gaschney en un seul groupe.
Nous vous serions reconnaissant de nous adresser en retour le nombre de participants de votre association pour le 21 avril au plus tard, afin que nous puissions assuré l'organisation et le verre de l'amitié dans de bonne conditions.
(Merci de me répondre à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.)
En espérant pouvoir compter sur votre participation pour cette journée,
Salutations sportives,

Pour le comité des VTC,

Olivier TROMSON

Pour les VTMulhouse, s'annoncer auprès de Jacques Battistella (06.72.67.21.32) ou Jean Greiner (03.89.60.15.31)

29 janvier 2022 : « Sortie nature à Rhinau – Taubergiessen et Krafft »

Dans le courriel d’invitation à cette sortie, l’objectif principal était l’observation du pygargue à queue blanche, appelé « Seeadler ou Aigle de mer ». Ce rapace nous arrive chaque année pour quelques semaines sous nos latitudes et pour la région son point d’observation se situe à Rhinau.

A titre indicatif, voici quelques éléments de comparaison entre la buse variable connue par tous, et le pygargue, éléments tirés du livre de Paul GEROUDET sur les rapaces.

Buses variable            Pygargue à queue blanche

Poids fem. :    700 à 1350g                4620 à 6850g

Envergure :     118 à 140 cm              210 à 265 cm

Bec :               22 à 24 mm                 50 à 63 mm

Tarse : 70 à 80 mm                 90 à 110 mm

Hauteur :         52 à 54 cm                  87 à 100 cm

Il se nourrit de poissons (en mer morues – aiglefins, sur les lacs carpes - brochets), canards, oies, cygnes, lagopèdes ou autres gallinacés, dans la toundra il chasse les lapins des dunes, lemmings et sousliks mais il ne dédaigne pas les charognes.

Nous sommes à 11 VTM à nous retrouver sur le parking de l’Office du Tourisme de Rhinau. Pas une minute à perdre, nous prenons le bac pour nous rendre sur l’autre rive. La présence du rapace nous est signalée par le premier ornithologue que nous croisons. Pas d’arrêt à l’observatoire, mais nous nous rendons de suite au plus près de son perchoir dortoir. Magnifique ! L’oiseau n’est qu’un gros point à l’œil nu, mais avec jumelles et longues vue nous pouvons admirer « notre graal ». Mission accomplie, à présent il faut comptabiliser tous les oiseaux observés, (grèbes huppés et castagneux, harles, cormorans, pic épeiche et vert, tarins des aulnes, grive musicienne, …). Pour ce premier site nous comptons pas moins de 36 espèces et trouvons également un grand réfectoire de castor.

Retour aux voitures pour le casse-croûte de midi puis nous nous rendons dans la réserve naturelle de Krafft au site naturel de la Sommerley afin d’y découvrir d’autres hivernants.

Le plan d’eau de Plobsheim est l’un des sites de France le plus important pour les oiseaux hivernants. La majorité des palmipèdes nous arrivent des pays nordiques, de la Scandinavie jusqu’à la Sibérie.

Après une demi-heure de marche, sur un terrain devenant de plus en plus gras et lourd, nous observons six grèbes castagneux qui ne font que plonger pour se nourrir.

Nous poursuivons notre chemin pour atteindre la pointe sud du plan d’eau. Les cygnes, sarcelles d’hiver, fuligules morillons … sont en très grand nombre. Je propose que l’on s’arrête ici et c’est Gilles seul dans sa tenue appropriée qui a pour mission d’avancer prudemment afin de pouvoir prendre les photos des espèces recherchées ici. Dans nos longues vues nous observons la scène, les garrots à œil d’or ainsi que les harles piettes qui ont déjà des comportements de parade nuptiale. Quel beau spectacle ! Au signal de Gilles, nous nous rapprochons de la rive afin d’apprécier la multitude d’oiseaux présents (canards pilets, tadornes de Belon..). Après une heure d’observation et de comptage, nous décidons de rejoindre les voitures et cerise sur le gâteau, nous observons encore un magnifique martin pêcheur. Sur ce site, nous dénombrons 37 espèces différentes.

Il est un peu plus de 17 heures lorsque conjointement, nous reprenons le chemin du Haut-Rhin.

Encore une belle journée d’observations qui a permis à certaines personnes du groupe de découvrir ces deux sites très prisés par les spécialistes.

MG & JG

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Les sorties du dimanche

9 mai, belles découvertes à Wolschwiller (Jura alsacien)
Pour la première sortie printanière autorisée après déconfinement, beau temps presque chaud et programme alléchant ont réuni 16 participants. En plus de l’attrait du Jura alsacien, une région moins fréquentée que les Vosges, des découvertes naturalistes et un « sentier des douaniers » étaient au menu préparé par Jean et Martine Greiner.
Partant de la place de la mairie à Wolschwiller en 3 groupes séparés, nous cheminons d’abord dans le village puis dans les prés pleins de couleurs : salsifis et boutons d’or jaunes, lamiers pourpres, bugles pyramidales bleues…. Température agréable lorsque nous pénétrons dans la forêt pour monter vers le Raemel. Et là les pauses botaniques et photographiques se multiplient avec le carex, l’oxalis, les dentaires pennées, les fougères en train de s’ouvrir à la façon des crosses d’évêque. Ca monte et ça monte sur de grands chemins forestiers, mais bientôt nous arrivons sur la crête à la limite de la Suisse. Attention à ne pas trop dépasser la frontière car les autorités suisses signalent par téléphone qu’une mise en quarantaine est obligatoire si on n’a pas de test Covid ! Le voilà le sentier des douaniers, boisé du côté sundgauvien (réserve naturelle), rocheux et abrupt du côté helvétique. C’est au bord d’un de ces apics rocheux que nous découvrons avec plaisir des gesses printanières toutes rouges et quelques superbes pieds d’orchis mâles . C’est aussi sur un replat de l’arête rocheuse que nous nous installons pour le casse-croûte de midi. Que du bonheur pour les yeux (panorama du Jura et des Alpes bernoises) et l’estomac (comme d’habitude, distribution de bons desserts pour terminer en beauté). Pas de tichodrome en vue (oiseau rare présent ici sur les façades calcaires), alors nous reprenons sur le sentier frontalier, en admirant de temps en temps d’anciennes bornes frontières de 1817 qui, du côté français, avaient été privées du F en 1871 au bénéfice du D allemand, avant de retrouver le F en 1918. Au sommet du Raemelspitz (832m et point culminant du Jura alsacien) le point de vue avec le beau temps est saisissant sur le Jura, du Passwang à gauche au Chasseral à droite, avec au milieu les pics blancs des Alpes qui dépassent. Nous nous imprégnions le regard de ce beau spectacle et nous poursuivons en descente vers la ferme Rittimatt et le monument Hofmann, un chimiste découvreur du LSD. Encore un beau spectacle avec le panorama sur le haut Sundgau bariolé de couleurs printanières, et à l’arrière la ligne bleue des Vosges rehaussée par les reliques de neige du Grand Ballon. Dernière traversée de forêt au vert tendre avant de déboucher sur une belle vue vers Wolschwiller et son clocher blanc mis en valeur par les étendues jaunes du colza. Très belle et intéressante sortie presqu’estivale et accessible au plus grand nombre (10,5 km 400m de montées). Grand merci à Jean et Martine. ad

Dimanche 13 septembre 2020 : le Brézouard.

C’est par une belle lumière de septembre que 10 VTM emboitent le pas à Francis et à Yves. Départ au Bonhomme. Le sentier longe les dernières maisons de ce village qui s’étire en longueur. A la pause, Francis nous rappelle le passé de la commune. On apprend que la commune s’appelait Diedolshausen à partir de 1871. Puis nous entamons une montée plus ou moins raide qui se poursuivra jusqu’à midi !! La montée est juste interrompue au niveau du Plat qui est une grande place. Enfin nous voilà au sommet du Grand Brézouard 1229m. La montée se poursuit vers la Cabane du Club vosgien de Ste Marie aux mines. Encore une montée vers le Petit Brézouard d’où la vue se répand à 360° à la ronde. Majestueuse vue ! Enfin sonne la cloche du pique nique. Ensuite  nous poursuivons par le refuge des Amis de la Nature du Haycot  et l’auberge du Haycot fermée. La vue sur la vallée de Ste Marie est splendide. Au col des Bagenelles, on entame la descente vers le Bonhomme. La vallée est encaissée. Il y fait chaud. Ouf ! on arrive ! On aura marché 14.4km avec un dénivelé de 675m.Merci à Francis et Yves. C’était une belle balade. A la prochaine          Christiane H.

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